Je ne sais pas vous... mais là personnellement ça commence à devenir interminable.
Pont du premier mai. Comme un long dimanche gris qui n’aurait pas de fin. Avec interdiction d’aller voir les copains.
Non mais ça suffit ! De quel droit peuvent-ils ainsi nous emprisonner ? Le confinement comme solution aux économies de santé publique et prétexte à reversements de dividendes en catimini (cf Korian) ! Et nous, sagement, on obtempère.
Franchement, on serait pas un peu cons ?
Laissez nous choisir notre mort comme dit si intelligemment Alain Comte-Sponville. Que ceux qui craignent les aléas de la vie restent chez eux ! Mais laissez moi vivre, voyager, risquer de croiser la mort en prenant la voiture, l’avion, en mangeant dans des bouis-bouis louches ou en me baignant au milieu des requins !
Bordel j’en ai marre de ces principes de précaution, de ces polémiques stériles sur les masques, les gants, les couleurs de département et de c’est la faute à qui cette pandémie : à la chauve-souris, au pangolin, aux chinois ou à ce gouvernement à la noix ?
Laissez-moi vivre. La santé ne vaut rien si elle nous permet tout juste de rester chez nous regarder Cyril Lignac faire des recettes en Live à la télé ou sortir masqué acheter des pâtes et du PQ. Je n’en peu plus de ces concerts au balcon, de ces prouesses musiciennes ou de ces séances de sport télé-guidées !
Foutez nous la paix. Laissez-nous prendre les risques que nous voulons. Je ne comprends pas cette vie qui s’arrête et j’ai peur du futur maintenant. Que laisserons-nous à nos enfants ? Un monde exsangue et craintif, où les riches vivront sous cloches et les pauvres dans le caniveau.
Sérieux, ça craint, non ?
Comentários